Utilisez ce dialogue pour ajouter un nouveau serveur dans pgAdmin.
Si vous expérimentez des problèmes de connexion, lisez la page des problèmes de connexion.
Le nom est un texte pour identifier le serveur dans l'arbre de pgAdmin.
L'hôte est l'adresse IP de la machine à contacter ou son alias. Sur les systèmes Unix, le champ de l'adresse peut être laissé libre pour utiliser le socket de domaine Unix par défaut sur la machine locale ou configurer un autre chemin contenant la socket PostgreSQL. Si un chemin est saisi, il doit commencer par un /. Le numéro de port peut aussi être spécifié.
Le champ Service doit correspondre au nom d'un service configuré dans le fichier pg_service.conf. Pour plus de détails, voir la documentation sur pg_service.
Le champ de la base de maintenance est utilisé pour spécifier la base de données initiales auquelle pgAdmin se connecte et qui doit contenir le schéma de pgAgent et les objets de l'adminpack (les deux étant optionnels). Sur PostgreSQL 8.1 et ultérieure, la base de données de maintenance est normalement appelée postgres alors que sur les versions précédentes, template1 est souvent utilisé bien qu'il soit préférable de créer une base de données postgres pour éviter d'ajouter des objets dans cette base modèle.
Si vous cochez « Stockez le mot de passe », pgAdmin stocke les mots de passe dans le fichier ~/.pgpass sous *nix et dans %APPDATA%\postgresql\pgpass.conf sous Windows pour pouvoir les réutiliser. Pour les détails, voir la documentation sur pgpass. Elle sera utilisée par tous les outils basés sur la libpq. Si vous voulez supprimer le mot de passe, vous allez dans les propriétés du serveur et décochez cette case.
Le champ Couleur vous permet de configurer une couleur spécifique pour ce serveur. Cette couleur sera utilisée comme couleur de fond des objets de la base affiché dans le navigateur des objets.
Le champ Groupe est utilisé pour placer votre serveur dans un groupe particulier. Vous pouvez ainsi avoir un groupe pour les serveurs en production et un autre pour les serveurs de test. Ou utiliser des groupes pour chaque LAN différent. Le regroupement est de votre ressort. Cela aide principalement quand vous avez besoin de serveurs enregistrés.
Le deuxième onglet contient toutes les options spécifiques à SSL : type de connexion SSL, fichier certificate racine, CRL serveur, certificat client, clé client.
Le troisième onglet contient des options avancées rarement utilisées.
Le champ « Se connecter maintenant » force pgAdmin à tenter une connexion au serveur tout de suite après l'enregistrement du serveur.
Vous pouvez décocher la case « Se connecter maintenant » si vous ne voulez pas que la connexion au serveur soit établit immédiatement, et que seul l'enregistrement du serveur ait lieu. Dans ce cas, les paramètres de connexion ne seront pas validés.
L'option « Restaurer l'environnement ? » détermine si pgAdmin tentera de restaurer l'environnement de navigation quand vous vous connecterez au serveur. Si vous utilisez régulièrement des bases de données différentes sur le même serveur, désactiver cette option est préférable.
Le champ « Nom du rôle » vous permet de vous connecter par un rôle et d'obtenir les droits d'un autre rôle (celui spécifié dans ce champ). Le rôle de connexion doit être membre du rôle indiqué dans ce champ.
Le champ « Restriction de base » vous permet de saisir une restriction SQL qui sera utilisée sur pg_database pour limiter les bases de données que vous voyez. Par exemple, vous pouvez saisir : 'live_db', 'test_db' pour que seules les bases de données live_db et test_db apparaissent dans le navigateur de pgAdmin. Notez que vous pouvez aussi limiter les schémas affichés dans la base de données à partir des propriétés de la base en saisissant une restriction sur pg_namespace.
Le champ service spécifie les paramètres pour contrôler le processus de la base de données. Sa signification est liée au système d'exploitation.
Si pgAdmin est exécuté sur une machine Windows, il peut contrôler le service postmaster si vous avez les droits nécessaires. Saisissez le nom du service. Dans le cas d'un serveur distant, vous devez ajouter le nom de la machine (par exemple PSE1\pgsql-8.0). pgAdmin découvrira automatiquement les services fonctionnant sur votre machine locale.
Si pgAdmin est exécuté sur une machine Unix, il peut contrôler les processus
exécutés sur la machine locale si vous avez les droits nécessaires. Saisissez
un chemin complet et les options nécessaires pour accéder au programme pg_ctl.
Lors de l'exécution des fonctions de contrôle du service, pgAdmin ajoutera les
mots clés status/start/stop. Exemple :
sudo /usr/local/pgsql/bin/pg_ctl -D /data/pgsql
Ce dialogue peut être lancé plus tard pour corriger ou ajouter des paramètres en sélectionnant « Propriétés » une fois le serveur sélectionné. Vous ne devez pas être connecté au serveur si vous voulez modifier ses propriétés.